Paroles et musique: Jean-Marc PAVAGEAU -Le 18/02/1997 – ISWC : T-003.724.802.4
1°) Je me lève le matin, je regarde mon horoscope
Pour mon signe tout va bien, me dit-il, et j’en prends note.
Alors je sors tout content, et je cours dans les ruelles.
Je n’aurai pas d’accident, si j’évite les échelles
Refrain : L’homme n’a de trêve, car son esprit le torture, plus il se met à penser.
Et lorsqu’il rêve de connaître son futur, il en devient prisonnier.
2°) Je n’suis pas superstitieux, il paraît qu’ça porte malheur
J’croise les doigts pour faire un vœu, pour gagner quelques faveurs
Des fois qu’il y’aurait un Dieu, il s’occuperait de moi
J’crois dans c’qui m’arrange le mieux, pour l’av’nir je touche du bois
Refrain
3°) Je connais des gens instruits, diplômés de grandes écoles
Qui disent qu’ils ont tout compris, sur le sens des paraboles
Ils inculquent leurs idées sur l’amour et la vertu
Et que l’on soit pardonné, si pour elles, un jour on tue
Refrain
4°) Moi je fais tourner les tables, je parle avec les esprits
Un jour je serai capable, de communiquer aussi
Avec ceux qui sont vivants, juste avant qu’ils ne s’en aillent
Qu’un soir ; il sera bien temps, de fêter ces retrouvailles
Refrain
5°) Je suis surtout sûr de rien, sinon qu’à la vérité
Les prophètes et les devins ne m’ont jamais inspiré
Je prends le temps comme il vient, comme il me plaît d’en user,
Libre d’aller mon chemin les deux pieds dans mes souliers.
Refrain final :
L’homme n’a de trêve, car son esprit le torture, plus il se met à penser.
Et lorsqu’il rêve de connaître son futur, il en devient prisonnier. (Bis)
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